L’économie à la demande : ce que son essor signifie pour les travailleurs et les entreprises
Bien qu’elle ne soit généralement pas un foyer d’emplois de rêve, l’économie à la demande actuelle a donné aux travailleurs de la génération Y une liberté financière et personnelle sans précédent. Cela peut contraindre les entreprises à s’adapter de plusieurs façons.
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Dans une enquête récente, le Bureau des statistiques du travail des États-Unis a recensé 1,6 million de travailleurs à la demande aux États-Unis. Mais il s’avère difficile de savoir exactement combien de personnes y contribuent. Les mesures varient considérablement, certaines indiquant que plus de 25 % des travailleurs américains (soit près de 60 millions de personnes) y participent d’une manière ou d’une autre. Les spéculations vont dans le sens d’une croissance appréciable de l’économie à la demande au cours des prochaines décennies, et ce pour de bonnes raisons.
Avec l’émergence des applications de travail indépendant et la crise de l’endettement des universités américaines, le travail à la demande devient de plus en plus intéressant et accessible pour la génération Y qui en maîtrise la technologie.
En effet, selon les estimations de NPR, FreshBooks et Intuit, les travailleurs à la demande représenteront près de la moitié de la main-d’œuvre d’ici 2020, dont 42 % seront probablement des personnes de la génération Y.
La frénésie sur les réseaux sociaux plaide fortement en faveur de la rentabilité de la vie à la demande. Par exemple, ceux qui ont participé au Flip Challenge 2017 popularisé par l’influenceur Gary Vaynerchuk ont enregistré des gains de plus de 20 000 $ en quelques mois seulement.
Je connais personnellement des étudiants qui ont été disque-jockeys en soirée, croupiers de black-jack pour une société de divertissement et de casinos, livreurs de nourriture pour cinq services en ligne différents, tuteurs d’écoliers, et ont vendu une quantité inimaginable de vêtements et d’articles ménagers inutilisés. Que s’est-il passé? Tout cela a été rendu possible grâce à des applications comme Facebook, DoorDash, Care.com, eBay, Poshmark et LetGo.
Le travail indépendant répond à des exigences de liberté que n’offre pas un emploi traditionnel.
Liberté FINANCIÈRE. Que ce soit comme source de revenus principale ou comme complément à un emploi stable, le travail à la demande peut aider les étudiants et les jeunes diplômés à couvrir leurs dépenses quotidiennes et à réduire leur dette.
Liberté PERSONNELLE. Nous avons tous des factures à payer. Mais un nombre croissant de personnes de la génération Y ne sont pas prêtes à prendre un emploi de bureau pour le faire. Le travail indépendant procure un revenu tout en laissant le temps de poursuivre ses ambitions entrepreneuriales.
Les entreprises seraient bien avisées de ne pas sous-estimer le potentiel actuel et inexploité du marché à la demande et son impact sur la main-d’œuvre de la génération Y. À ce titre, l’action préventive est la meilleure action. Lorsqu’elles envisagent des stratégies de main-d’œuvre pour attirer et retenir cette population clé, les entreprises peuvent y parvenir en mettant en avant les avantages sociaux du travail en équipe, ainsi qu’en soulignant la valeur du développement professionnel dans un environnement de travail stable. Il ne serait pas non plus inutile d’offrir des incitations salariales plus élevées pour une production de qualité.
À propos de l’auteur
Kenneth Vesey poursuit un cursus de premier cycle à l’université de Fordham en vue d’obtenir une licence en psychologie et une mineure en marketing. Avec une formation en musique irlandaise et en rhétorique compétitive, Kenny est particulièrement intéressé par l’expression créative comme moyen d’autonomiser les individus sur le lieu de travail et de transformer les entreprises à l’échelle. Communiquez avec lui sur LinkedIn.
Avec l’émergence des applications de travail indépendant et la crise de l’endettement des universités américaines, le travail à la demande devient de plus en plus intéressant et accessible pour la génération Y qui en maîtrise la technologie.
En effet, selon les estimations de NPR, FreshBooks et Intuit, les travailleurs à la demande représenteront près de la moitié de la main-d’œuvre d’ici 2020, dont 42 % seront probablement des personnes de la génération Y.
La frénésie sur les réseaux sociaux plaide fortement en faveur de la rentabilité de la vie à la demande. Par exemple, ceux qui ont participé au Flip Challenge 2017 popularisé par l’influenceur Gary Vaynerchuk ont enregistré des gains de plus de 20 000 $ en quelques mois seulement.
Je connais personnellement des étudiants qui ont été disque-jockeys en soirée, croupiers de black-jack pour une société de divertissement et de casinos, livreurs de nourriture pour cinq services en ligne différents, tuteurs d’écoliers, et ont vendu une quantité inimaginable de vêtements et d’articles ménagers inutilisés. Que s’est-il passé? Tout cela a été rendu possible grâce à des applications comme Facebook, DoorDash, Care.com, eBay, Poshmark et LetGo.
Le travail indépendant répond à des exigences de liberté que n’offre pas un emploi traditionnel.
Liberté FINANCIÈRE. Que ce soit comme source de revenus principale ou comme complément à un emploi stable, le travail à la demande peut aider les étudiants et les jeunes diplômés à couvrir leurs dépenses quotidiennes et à réduire leur dette.
Liberté PERSONNELLE. Nous avons tous des factures à payer. Mais un nombre croissant de personnes de la génération Y ne sont pas prêtes à prendre un emploi de bureau pour le faire. Le travail indépendant procure un revenu tout en laissant le temps de poursuivre ses ambitions entrepreneuriales.
Les entreprises seraient bien avisées de ne pas sous-estimer le potentiel actuel et inexploité du marché à la demande et son impact sur la main-d’œuvre de la génération Y. À ce titre, l’action préventive est la meilleure action. Lorsqu’elles envisagent des stratégies de main-d’œuvre pour attirer et retenir cette population clé, les entreprises peuvent y parvenir en mettant en avant les avantages sociaux du travail en équipe, ainsi qu’en soulignant la valeur du développement professionnel dans un environnement de travail stable. Il ne serait pas non plus inutile d’offrir des incitations salariales plus élevées pour une production de qualité.
À propos de l’auteur
Kenneth Vesey poursuit un cursus de premier cycle à l’université de Fordham en vue d’obtenir une licence en psychologie et une mineure en marketing. Avec une formation en musique irlandaise et en rhétorique compétitive, Kenny est particulièrement intéressé par l’expression créative comme moyen d’autonomiser les individus sur le lieu de travail et de transformer les entreprises à l’échelle. Communiquez avec lui sur LinkedIn.
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